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(Extraits tirés de Histoire de Roberval) Le printemps de 1870 avait été hâtif et sec. « La neige avait disparu de bonne heure, la terre s'apprêtait rapidement, et dès les premiers jours d'avril, on vit des colons commencer le hersage. L'absence totale de la pluie suscitait bien quelques craintes, mais enfin, chacun prenait ses précautions et tous les jours où il ne faisait pas grand vent, on voyait quelques fumées d'abattis s'élever çà et là. » Il faisait beau, il faisait chaud, les semailles étaient à peu près terminées à la mi-mai. |
Diaporamas et vidéos |
Les arrivants à Desbiens: Denis Boivin, premier colon à s'établir près du poste, arriva avec ses deux frères en mars 1855. Vivant surtout de chasse et de pêche, il avait défriché une parcelle de terre et cultivait un peu. Son frère Crysostôme alla finalement s'établir à Roberval. Jean hésita d'abord, et repartit, après réflexion, pour revenir s'installer près de son aîné. (Lire la suite) |
Le père Albanel, Jésuite, note en 1672: «C'était autrefois l'endroit où toutes les nations qui sont entre les deux mers, celle de l'est (le St-Laurent) et celle du nord (la Baie d'Hudson) se réunissaient pour faire leur commerce et leurs ententes. J'y ai vu plus de vingt nations assemblées». |
Le tremblement de terre du 28 frévrier 1925 Ça je m'en souviens très bien. C'était en hiver et il faisait très froid naturellement. C'est arrivé durant la nuit. On demeurait dans la maison dans le rang Belle-Rivière à Hébertville. À ce moment-là j'avais 6 ans et 2 mois. On était couché en haut nous-autres. La terre avait tremblé et ça nous avait réveillés. |
La tourte n'était même pas une inconnue au Lac-Saint-Jean, puisque, en 1732, l'arpenteur du roi, Normandin, raconte avoir couché en face de l'Île aux Couleuvres, au milieu des perdrix, des lièvres et des tourtes. Bien mieux, elle n'était même pas inconnue avant le Grand Feu, puisque Euloge Ménard en échangea en 1867. (Lire la suite) |
Les premiers contacts des populations de la région avec les blancs coïncident avec le début de la période protohistorique soit vers 1550. C'est en 1600, date de l'établissement du comptoir de Tadoussac par Pierre Chauvin que ces contacts s'officialisent. (Lire la suite) |
Visionnez «Les Ursulines à Roberval» - Diaporama |
Des enfants seraient-ils coupables de l'attentat perpétré contre un train de la compagnie Roberval-Saguenay ? C'est la question que se posa un magistrat à la suite de l'incident du 14 septembre 1895, incident qui aurait pu devenir grave. |
William Price et la Société des Vingt-et-un
«Le premier qui semble avoir découvert le pot-aux-roses serait l’abbé Arthur Maheux. Son témoignage revêt de l’importance puisqu’il s’agit d’un pro-britannique presque congénital et qu’il a scruté les archives Price avec une grande minutie. Je dis bien «semble avoir découvert» car le Fonds Price contient une petite note qui a de quoi donner le frisson aux chercheurs d’un certain âge. La voici:» |
Association des comtés de l'Islet et de Kamouraska pour coloniser le Saguenay
La plus importante et la mieux organisée des sociétés de colonisation de cette époque fut celle qui se forma à Sainte-Anne de la Pocatière en janvier 1849 sous le nom d' "Association des comtés de l'Islet et de Kamouraska pour coloniser le Saguenay". |
Après de brefs mais chaleureux applaudissements, l'artiste prit place en posant son pied droit sur une chaise devant deux microphones : l'un pour la guitare et l'autre pour la voix. Sur le ton de vérité de ce « paysan bourru » et de sa voix robuste de baryton, l’artiste chanta et sifflota ses chansons aux accents du terroir en regardant très peu ses mains ; Félix avait plutôt tendance, lorsqu'il chantait à tenir ses yeux en l'air. |
Mise à jour: 10 novembre 2018
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Lettre écrite par Sandy Bishop (Joseph Desbiens, frère de Louis Desbiens) à l'abbé V. Tremblay en avril 1939. «Je suis parti de chez nous avec l’idée de voyager. J’ai été employé sur la ligne du chemin de fer quand il est arrivé à St-Jérôme. J’ai fait connaissance et associé avec des nommés Gagnon de la Pointe-Bleue pour aller faire les travaux à Montréal. Eux sont retournés chez eux et moi je suis allé aux Etats-Unis. Je suis allé à New-York, où j’ai demeuré cinq ans à travailler dans les chantiers. »
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La fin du flottage du bois au Lac-St-Jean Le Roberval - Témoignages |
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